C’est demain, mercredi 18 avril, que le juge siégeant à la Family Court de la cour suprême annoncera sa décision suivant l’affidavit juré par Nad Sivaramen le 10 avril dernier. Le directeur des Publications de La Sentinelle Ltée, en congé forcé depuis le début du mois, réclame l’annulation des ordres émis contre lui le 2 avril dernier. Il demande aussi que l’accord conclu entre lui et Audrey Harelle en cour le 5 avril soit revu.
Dans son affidavit, Nad Sivaramen rejette catégoriquement les allégations portées contre lui par son ex-compagne. Il a également annexé une série d’échanges récentes qu’il aurait eues par WhatsApp avec Audrey Harelle dans le but de prouver que celle-ci ne s’est jamais plainte de son présumé mauvais comportement envers leur fille alors que les faits qui lui sont reprochés remontent depuis l’année dernière. Preuves à l’appui, Nad Sivaramen soutient que la chef d’édition de l’Express a déformé la vérité. Il accuse ainsi cette dernière d’avoir entaché sa réputation en tant qu’un père affectueux et mettant en péril sa crédibilité et sa position en tant que directeur des Publications de la LSL. Il n’écarte pas la possibilité qu’Audrey Harelle ait pu être motivée par des raisons purement égoïstes et politiques afin d’obtenir la nationalité mauricienne.
