La demande de libération sous caution d’Aryan Khan rejetée par le tribunal de Mumbai

Aryan Khan a été poursuivi pour des infractions en vertu des articles 8 (c), 20 (b), 27, 28, 29 et 35 de la loi sur les stupéfiants et les substances psychotropes (NDPS).

Arya Khan, le fils de l’acteur Shah Rukh Khan, s’est vu refuser aujourd’hui la libération sous caution dans l’affaire de drogue sur un bateau de croisière par un tribunal de Mumbai. Le tribunal spécial du NDPS a également rejeté deux autres demandes de mise en liberté sous caution d’Arbaz Merchant et de Munmun Dhamecha. Le tribunal avait réservé le verdict à la fin de l’audience le 14 octobre. Aryan Khan et sept autres accusés ont été arrêtés dans cette affaire le 2 octobre par le Bureau de contrôle des stupéfiants. Il a été placé en détention par la BCN jusqu’au 7 octobre. Un tribunal de Mumbai avait rejeté sa demande de libération sous caution le 8 octobre, affirmant que les demandes de libération sous caution ne pouvaient être maintenues. Le tribunal avait également rejeté le plaidoyer du BCN pour une garde à vue supplémentaire et avait placé tous les accusés, y compris Aryan Khan, en détention judiciaire. Khan a été incarcéré dans la prison d’Arthur Road à Mumbai.

Avant le verdict de la libération sous caution aujourd’hui, le BCN a soumis devant le tribunal des détails sur la discussion entre Aryan Khan et une actrice débutante de Bollywood, affirmant que tous deux discutaient de drogue.

S’opposant à la demande de libération sous caution d’Aryan Khan, le BCN avait fait valoir que l’enfant vedette était un consommateur régulier de drogue. Il avait également soutenu que la contrebande trouvée avec l’ami de Khan, Arbaaz Merchant, était pour les deux. Citant le chat WhatsApp de Khan, le NCB avait déclaré qu’ils avaient tous deux prévu de s’éclater pendant la croisière. Khan avait soutenu que le NCB avait mal compris le jargon utilisé pour discuter par la nouvelle génération.

L’avocat de Khan avait fait valoir que NCB n’avait pas récupéré de contrebande ou d’argent auprès de Khan et avait affirmé qu’il n’y avait pas eu de discussions WhatsApp sur la drogue pendant la croisière. Desai a également affirmé que la déclaration faite par Khan selon laquelle il avait consommé de la drogue avait été retirée et que même son téléphone portable n’avait pas été remis volontairement au BCN, mais saisi, sans qu’une note de saisie ne soit déposée.

Aryan Khan a été poursuivi pour des infractions en vertu des articles 8 (c), 20 (b), 27, 28, 29 et 35 de la loi sur les stupéfiants et les substances psychotropes (NDPS).

SOURCE : marseillenews.net