Nous n’avons pas le droit de nous taire face au génocide perpétré par les sionistes à Gaza, à Rafah, à la West Bank, ainsi qu’au Liban. Nous n’avons pas le droit de nous taire, non plus, sur la provocation abjecte des sionistes ignorant la recommandation récente de la Cour internationale de justice. Fort de son impunité, Israël continue de défier le monde en perpétrant ce génocide.
Il est indéniable que l’Occident ait consolidé, armé, financé, promu, soutenu et blanchi la forme d’extrémisme la plus violente, la plus sauvage, la plus radicale qui existe. L’Occident est complice du génocide.
Il faut reconnaitre que le seul mouvement qui soit capable de mettre fin au génocide, proviendra de la résistance populaire à toute forme de discrimination, de déshumanisation, de discours de haine, de la dénonciation de partis politiques prêchant la haine, le racisme ou la xénophobie.
Dans le cas qui nous concerne, le boycott économique est l’action indiquée pour faire plier l’économie israélienne et entrainer un stop au génocide. Nous sommes confiants que le boycott continuera à affaiblir l’économie d’Israël et à entrainer la fin du génocide.
Le silence de nombreux Imams et autres prêcheurs concernant le boycott pour affaiblir l’économie israélienne et freiner le génocide est, le moins qu’on puisse dire, assourdissant. Infliger la pression sur une entité ciblée, faut-il le rappeler, est reconnu comme une forme de boycott, voire le plus haut degré du boycott.
Le constat de BDS est que le mouvement de boycott a pris de l’ampleur à en juger par les réflexes dans les supermarchés. De nombreuses personnes ont adopté des alternatives aux produits qui financent Israël. Néanmoins, il faut déplorer que certaines personnes ne semblent ne pas pouvoir se passer de certaines boissons gazeuses dans les mariages et autres évènements. A ceux-là, nous rappelons qu’en achetant ces produits, vous contribuez au génocide.
Mosadeq Sahebdin