Il n’y a pas que les policiers qui sont mécontents. C’est aussi la grogne dans le secteur public de la santé. Dans une lettre datée du 2 juillet 2024 adressée au Regional Health Director JNH, des ‘Health Care Assistants’ (HCA) dénoncent un favoritisme en ce qu’il s’agit de leurs conditions de travail. « For several years, there has been an act of favouritism taking place by the management day by day being more detrimental to other HCAs », soulignent-ils dans cette correspondance.
Ils réclament un changement d’affectation de tous ceux qui ont été « deeply rooted in cozy places » pendant que d’autres ont été contraints de rester au chevet des patients pendant plus de 20 ans « without any promotion or light duties ». Ces protégés, nous confie une source, se la couleraient douce. D’autant qu’ils sont souvent proches de ceux au pouvoir. Les HCA, rappelons-le, ne sont pas recrutés par la ‘Public Service Commission’ (PSC) mais par le ministère de la Santé. Ce qui fait que des proches du gouvernement peuvent être casés sans problème.