L’île Maurice veut zéro gaspillage

On veut que l’île Maurice aille vers le zéro gaspillage. Une question se pose pour la marge de manœuvre. La situation est tendue. Quelques secteurs économiques ne fonctionnent pas bien. Les novices ne brillent pas dans l’arène politique.

Les gens s’appauvrissent de jour en jour parce que le développement est freiné par le Brexit, marque de la relation multilatérale avec l’Inde, la Chine et l’Amérique et aussi le retour des Chagos pour les Chagossiens. Quelques banques ont fait une grosse chute par les mauvais emprunts par les directeurs de ces banques pour leur mauvaise gestion. La plupart des gens ont failli dans leurs tâches. Tout amalgame a freiné la route du progrès par les brebis galeuses.

La culture du thé a pris une bonne ampleur. Auparavant, on faisait une belle culture du tabac avec les compagnies « British American Tobacco Ltd » et « Amalgated Tobacco Ltd ». Ce projet va créer beaucoup d’emplois. Le Ministère de l’Agro-industrie et des Ressources naturelles peut se lancer dans l’élevage des animaux et des poules.

Le projet Metro Express va attirer les touristes. D’ailleurs, les investisseurs veulent investir ici. Les « RES » et « IRS » vont faciliter l’achat des maisons. Le secteur privé est en voie de développement. La mer est déjà exploitée par le ministère concerné. L’industrie cannière encourage nos planteurs de toutes les façons. Notre pays a réussi à attirer un client viable pour notre sucre, comme la Chine.

Le projet voltaïque ou éolien va contribuer à notre économie. Le recyclage des bouteilles en plastique est une transaction louable. Justement, une demande forte est faite par des économistes pour le zéro gaspillage.

Les entrepreneurs peuvent investir dans la production du sel. On conserve d’eau de la mer tout près avec des casiers en béton. Après, de l’eau salée deviendra du sel avec l’évaporation. Avant cela, on avait des salines, notamment à Tamarin, Poste Lafayette, Butte à l’Herbe (Grand-Gaube) et les autres régions côtières. Notons que pour le moment, on importe du sel depuis Madagascar.

Le four à chaux va contribuer quelque chose à l’économie du pays en produisant de la chaux, utilisée dans la construction et dans la peinture.

 

Doorpal Seegolam