Atteinte d’une tumeur rare : Mokshita, 8 ans, doit se faire opérer en Inde

Mokshita Luxmi Taucoory est une petite fille âgée de 8 ans qui est atteinte d’une tumeur qui affecte particulièrement les enfants en bas âge. Depuis plusieurs mois elle fait le va et vient à l’hôpital pour trouver sa guérison ou du soulagement. Elle a fait multitudes échographies, des scans et des tests de sang qui l’ont épuisée tant physiquement que mentalement. Après avoir été diagnostiquée à des glands adrenales, aussi connus comme neuroblastome, on répère chez la fillette une grosseur au niveau des abdomens, ce qui va ajouter à sa souffrance. L’opération qu’elle doit subir ne pouvant se faire à Maurice, les médecins traitants de Mokshita conseillent à son père de l’emmener en Inde où elle sera assurée d’un traitement efficace. Mais entre-temps la petite fille, qui souffre aussi d’anémie, commence à faire de la fièvre et à vomir.

Son père témoigne de la peine en regardant souffrir sa petite fille. Arvind Taucoory fait état de sa  souffrance morale depuis que le mauvais diagnostic est tombé mais affirme que cela ne l’arrêtera pas pour sauver sa fille. La petite Mokshita a perdu du poids ces derniers mois.

Arvind Taucoory fait un appel pressant à la générosité des Mauriciens pour aider sa petite fille à s’en sortir. Elle se trouve déjà en Inde où elle suit régulièrement ses traitements. Tout don peut être versé sur les comptes bancaires suivants :
MCB : 000448680971
SBM :01010100255724

C’est quoi un neuroblastome ?
Un cancer qui se développe dans certaines formes très précoces de cellules nerveuses, le plus souvent trouvées chez un embryon ou un fœtus. Le terme « neuro » signifie les nerfs tandis que le « blastome » fait référence à une tumeur qui débute dans des cellules immatures ou en développement. Il touche particulièrement plus les nourrissons et les enfants. Il est difficile de déterminer si l’enfant souffre de cette maladie à un stade précoce, car les symptômes ne débutent que quand c’est trop tard et la seule solution c’est la chirurgie.

Rayhan Edoo