Mort de la petite Saivanee
S’agit-il d’une tentative de ‘cover-up’ ? C’est la question qu’on se pose en milieu hospitalier depuis le transfert d’un pédiatre qui avait examiné la petite Saivanee alors qu’elle souffrait atrocement après son opération. Ce n’est qu’aux petites heures du matin du 23 novembre, quand l’état de santé de la fillette de 10 ans s’était nettement détérioré suivant son opération à l’appendice, qu’un médecin généraliste l’a référée à ce pédiatre. Ce dernier, choqué par l’état préoccupant de la fillette, devait rédiger son diagnostic où il met noir sur blanc ses observations médicales.
Or, ce pédiatre, qui n’était pourtant pas celui qui était précédemment responsable du dossier de la fillette qui a finalement rendu l’âme à l’hôpital Jeetoo, s’est vu transféré du jour au lendemain. Un transfert que ses collègues ne voient pas d’un bon œil, d’autant qu’il n’aurait, selon eux, que rédiger la stricte vérité sur l’état de santé de la jeune victime. Est-ce le prix à payer pour la conscience professionnelle, la transparence et la vérité ? Les autorités devront répondre…
