• La société s’engage à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 20% d’ici 2025, de 50 % d’ici 2030 pour finalement atteindre zéro émission nette d’ici 2050.
• La branche locale, Nestlé Mauritius, opte pour une flotte de véhicules entièrement électriques.
Le changement climatique causé principalement par l’émission de gaz à effet de serre, résultant des actions de l’homme, est un défi auquel fait face le monde entier. Nestlé, en tant que société responsable, s’est engagée à réduire progressivement son empreinte carbone par 20 % d’ici 2023, 50 % d’ici 2025, pour finalement atteindre zéro émission nette en 2050. Une feuille de route a été élaborée par Nestlé afin de guider les 187 entités du groupe, dont la branche Nestlé Mauritius, vers cet objectif commun.
« La feuille de route zéro émissions nettes de Nestlé trace la route vers la régénération pour les générations futures », explique Erkan Konak Country Manager de Nestlé Mauritius. Selon ce dernier, Nestlé n’est peut-être qu’un acteur parmi d’autres mais dit-il : « en tant que première entreprise alimentaire au monde, elle a, par sa taille, son échelle et l’impact de ses actions, la responsabilité d’influencer beaucoup d’autres entreprises, et ainsi, d’inspirer la mise en place d’actions collectives ».
Le groupe a déjà franchi une étape importante sur le plan de ses emballages avec son engagement à rendre ses emballages 100 % recyclables ou réutilisables d’ici 2025 et à réduire l’utilisation du plastique vierge d’un tiers. Nestlé Mauritius, qui s’est pleinement adhérée à cette cause, a, pour rappel, lancé le « RE Sustainability Intiative », en juin dernier. L’objectif étant d’améliorer l’impact environnemental de ses emballages à travers les trois « RE » : RETHINK, REDUCE, REPURPOSE, tout en favorisant le modèle de l’économie circulaire.
Sur l’échelle internationale, Nestlé abat déjà un travail conséquent dans les domaines de la fabrication, de l’emballage et de la neutralité carbone de ses marques. Elle a également investi des sommes conséquentes pour aider à stimuler l’agriculture génératrice dans toute sa chaîne d’approvisionnement et dans les nouvelles technologies.
