Éclairage défectueux au no. 2
Le problème est persistant, interpellant en exaspère plus d’un au no. 2. Le manque d’éclairage, lié aux lampadaires publics défectueux dans plusieurs régions de la circonscription, est source d’inconvénients pour les habitants et les usagers de la route, dont ceux qui se rendent aux mosquées très tôt le matin, mais aussi le soir. D’autant que des chiens errants courent dans tous les sens, aggravant ainsi les désagréments et les dangers pour les piétons. Les autorités font souvent la sourde oreille face aux doléances des habitants qui se sont finalement confiés à nous.
Le député Osman Mahomed, qui est souvent sollicité pour intervenir dans ces cas, ne cache pas son agacement. Non seulement les conseillers municipaux, censés veiller à ce genre de problèmes, ne font pas leur travail correctement, mais même les inspections municipales font défaut, déplore-t-il. « J’avais même soulevé une question parlementaire dessus le 7 novembre 2017. Le ministre Mahen Jhugroo avait alors répondu que les inspections, qui se faisaient normalement trois fois par semaine, ne pouvaient plus être faites à ce moment puisque les heures supplémentaires ne pouvaient être payées en raison d’un manque de fonds. Mais il me semble que le problème d’overtime a été réglé. Je ne comprends donc pas pourquoi il n’y a plus d’inspections », dit-il.
Osman Mahomed fustige la léthargie de la municipalité. « Je lance un appel au nouveau Lord-maire pour qu’il prenne les choses en main et résdue les problèmes des citadins », s’exclame le député du no. 2.