L’ex Présidente de la République Ameenah Gurib-Fakim à travers un poste publié sur son compte Facebook a soulignée qu’en 2018, elle a été convoqué au bureau de l’ICAC sous une accusation d’incité des fonctionnaires à accorder l’accès VIP à un homme d’affaire. Selon elle, un président ne signe jamais une telle demande et que c’est le bureau du Premier ministre qui approuve ces demandes.
Elle affirme d’être accusée d’une présidente corrompue lorsqu’elle a utilisé une carte de crédit qui portait son nom et qu’elle remboursé un an avant que mes coordonnées bancaires ne soient divulguées à la presse.
Elle ajoute qu’on vit actuellement des moments dystopique où un ministre aurait reçu un cadeau, une parcelle de terrain d’une valeur de Rs 20 000 000 et que l’ICAC enquête sur cette affaire depuis 2011 et en parallèle par le bureau du « Serious Fraud Office » au Royaume-Unis.
Elle relate qu’elle ne compte pas les autres allégations de corruption portées contre d’autres ministres et fonctionnaires où sont désormais impliqués des milliards de roupies, dont la plupart sont toujours en poste.
N’est-ce pas une parodie de notre système de justice? s’interroge-t-elle