S’agit-il d’œuvre de certains employés ?
Des scanners à empreintes digitales (‘fingerprint scanners’) avaient récemment été installés à l’hôpital de Souillac. Ces scanners avaient été mis en place pour contrôler les heures d’arrivée et de sortie des membres du personnel de cet hôpital. Mais il nous revient que ces appareils ont été endommagés après qu’une ou plusieurs personnes malintentionnées eurent introduit un liquide corrosif à l’intérieur. Dans le sillage de cet acte de vandalisme, plusieurs interrogations subsistent.
Selon nos informations, avant l’introduction de ces scanners, certains employés de l’hôpital, plus précisément certains employés haut placés hiérarchiquement, ne faisaient aucune entrée en ce qui concerne leurs heures d’entrée ou de départ dans l’Attendance Book. Se croyaient-ils dans une boutique ?
La direction de l’hôpital décida alors de frapper un grand coup en installant des scanners à empreintes digitales, où les employés, à leur arrivée et à leur sortie, devaient imposer l’empreinte de leur pouce, pour l’enregistrement électronique de l’heure.
Des employés de l’hôpital croyaient que ceux qui faisaient fi aux règlements allaient maintenant se plier à cette corvée. Mais hélas, tel n’a pas été pas le cas, car le manque de ponctualité a la vie dure au sein de cet établissement. En effet, un liquide corrosif a été déversé dans les appareils, les rendant hors-service.
La question qui se pose : qui aurait pu endommager ces appareils ? S’agit-il de ceux qui ne voulaient pas se plier aux nouveaux règlements ?
