Elle sont environ une cinquantaine de personnes à prendre leur mal en patience en attendant que des officiers donnent le feu vert afin qu’elles puissent se réfugier dans le centre de refuge de Bambous. «Nou lakaz pa bon. Pas pe capav reste dan nou lakaz. Lapolis dir ale dan centre, ban officiers isi pe dir ale get la polis », s’exclame Aniella Baptiste, très remontée.
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